dimanche 30 septembre 2012

Buenos dias LA GOMERA – LA PALMA (2).

Bonjour tout le monde !


Nous atterrissons à Tenerife Sud à 10 heures après un vol de 4H30’. 

Difficile journée car nous avons du nous lever à 3 heures du matin pour être à l’aéroport de Charleroi (Belgique) à 4 heures.

Le poids de la fatigue est là mais le soleil nous réconforte.





Un petit détail important dans la préparation du voyage ! Pourquoi l’aéroport de Tenerife sud ? Parce qu’il y a deux aéroports à Tenerife, un dans le nord, l’autre dans le sud. Comme nous allons devoir rejoindre le port de Los Christianos pour prendre le ferry à destination de La Gomera, le plus proche est le mieux.


Nous avons décidé de prendre le bus plutôt que le taxi pour nous rendre au port de Los Christianos. Coût : six euros pour tous les deux.

Nous arrivons trop tôt au port, le ferry est prévu pour 14 heures.

Nous n’avons pas le courage de parcourir la ville en trainant nos valises et le matériel photo. On décide de faire une pause et de manger un bout au bord de la plage qui borde le port.


 Ah oui, parlons du matériel photo car je sais que certains d’entre vous aiment cela. Dans la sacoche : un Nikon D80 avec objectif 18*135mm ; un Nikon Coolpix P500 avec un zoom 36X et la petite nouveauté de cette année, le tout nouveau Nikon de poche Coolpix s3300, une merveille de technologie. De quoi, vous ramener de belles photos.

 13H30’, billet en main puisque nous les avons réservés via Internet (Coût pour tous les deux pour le trajet Tenerife – La Gomera : 59 euros (sans voiture)), nous nous présentons au ponton.

Nouvelle découverte ! Les valises doivent être déposées dans une camionnette de la firme à un endroit précis. Elles seront récupérées à l’arrivée à un endroit précis aussi.
Merveilleux car pour monter sur le ferry, il y a des marches à franchir.
Pour le ferry, deux options s’offraient à nous : la société ARMAS ou la société FRED OLSEN. Nous avons choisi la société Armas pour deux raisons : il est plus lent donc on a le temps de découvrir le paysage et surtout, il est moins cher. Et nous pouvons vous l’assurer il est très confortable et le service est parfait à bord.

Nous voilà donc voguant vers l’île de La Gomera. Pour Annick et moi, nous retrouvons les sensations vielles de 24 ans, lors de notre premier voyage en Grèce.

Avec deux inconnues : la voiture sera-t-elle bien au port ? Le gite est-il bien existant ?

Ici, nous quittons Tenerife.



Voilà les premières vues sur l'île de La Gomera.




Nous entrons dans le port de San Sebastian de La Gomera.

A suivre, ...

vendredi 28 septembre 2012

Gérard DUSUEL rend « Hommage à la Femme »

Bonjour tout le monde,

Pour fêter le huitième anniversaire de notre galerie nous ne pouvions rêver mieux que d’accueillir un artiste peintre dont la passion est de rendre un vibrant « Hommage à la Femme ».

Gérard DUSUEL est originaire de Châlons-en-Champagne et habite depuis de nombreuses années à REIMS. 

Sa passion pour la peinture date de sa plus tendre enfance où, dés l’école primaire, il est déjà remarqué pour ses dessins très réussis.
La même constatation est faite lors de son passage au lycée, ce qui incite ses parents à lui faire suivre des cours auprès d’un professionnel, en l’occurrence une femme artiste confirmée, Mme BERNARD, membre du collectif « Art Vivant » de Châlons-sur-Marne, à l’époque.

Pendant plusieurs années, Gérard DUSUEL va, au côté de cette artiste, étudier le dessin, mais aussi le fusain, puis ensuite s’adonner à la gouache, le pastel et enfin à la peinture à l’huile.

Après cinq années d’étude auprès de ce professeur, il enchainera d’autres cours avec d’autres artistes.

Au terme de ces études, une carrière professionnelle l’emmène dans diverses régions de Champagne, de Picardie et de la région parisienne. Mais, il continue à peindre et à se perfectionner au grès des rencontres avec d’autres amis artistes.

Gérard DUSUEL revient à Reims et en profite pour passer deux années de cours à l’école des Beaux-arts de la ville en complétant son expérience notamment en portraits et nus féminins (d’après nature, à l’huile et pastels) qui sont devenus ses thèmes favoris depuis plusieurs années.

Gérard DUSUEL représente donc la Femme sous toutes ses formes, habillées ou nues, de façon figurative, réaliste, de toutes races et de tous pays du monde. La Femme est devenue maintenant sa source d’inspiration définitive, …

Après avoir exposé dans les principales villes de France dont Paris, Lyon, Marseille mais aussi à l’étranger comme à New-York, Florence, Londres, Barcelone, Lausanne, Shanghai, Gérard DUSUEL prend possession, aujourd’hui, des cimaises de la galerie Intimerrance à Montigny-le-Tilleul.

Une exposition à ne surtout pas manquer lorsque l’on se réfère aux propos du Prince Joachim MURAT, amateur d’art éclairé qui dit de Gérard DUSUEL : « La peinture de Gérard DUSUEL est toute en nuances, toute en retenue, infiniment séduisante, presque surréaliste pour une époque telle que la nôtre. »

A voir à la galerie Intimerrance, rue Vandervelde, 95 à Montigny-le-Tilleul du 20 octobre au 3 novembre 2012 les mercredis et samedis de 15 à 17 heures et le vendredi de 17 à 19 heures ou sur réservation au 00-32-(0)71/51.18.42.

Le vernissage de l’exposition se tiendra le vendredi 19 octobre 2012 à partir de 19 heures.
Invitation cordiale à toutes et à tous même en l’absence de carton d’invitation. 

jeudi 27 septembre 2012

Buenos dias LA GOMERA – LA PALMA. (1)

Bonjour tout le monde !

Que de travail pour trier toutes nos photos de voyage et commencer à vous le relater.


L’envie de repartir en voyage dans les îles Canaries nous a pris dès notre retour de Fuerteventura l’année dernière.

Notre désir était d’aller découvrir les îles de La Gomera et de La Palma. Un séjour de trois semaines à répartir à raison d’une semaine à La Gomera et deux semaines à La Palma.

Pour nous, une autre aventure commençait car cette fois, il n’était plus question de loger en appartement à l’hôtel. Même si cela avait été très agréable l’an dernier. 

Dès lors, nous avons confié à l’agence de voyage « Les Tilleuls », située dans notre localité, le soin de réserver les billets d’avion. Mais pour le reste, nous revenions à notre habitude des années 80, lorsque nous partions en Grèce à savoir, organiser nous-mêmes le voyage.

Nous avons donc, tout naturellement, cherché en premier lieu un logement sur chaque île. Pour ce faire nous avons fait des recherches sur Internet. Pas si simple que cela mais, à force de chercher nous avons trouvé un site magnifique : gomera-individual.

Néanmoins, nous étions hésitants en regard de nombreux témoignages qui relataient les déboires de personnes qui étaient passées directement par Internet pour réserver un hôtel ou un logement pour passer leurs vacances. 

Nous avons donc pris contact avec cette agence qui loue des « casas rurales », des gîtes ruraux dans ces deux îles.
Notre surprise fut de recevoir un mail en retour dans la journée. Un courriel avec un nom, une adresse et un numéro de téléphone. Et malgré que notre courriel était rédigé en espagnol, le mail de réponse était écrit en français. 

Notre personne de contact avait bien compris notre souhait de départ : louer un gîte à l’ouest des îles pour pouvoir faire de la photo au coucher du soleil. 



Mais, c’est là que nous avons été enchanté, c’est que nous n’avons pas fait silence que nous étions naturistes et que notre souhait était de pouvoir vivre de notre naturisme dans ces gîtes dans la plus grande discrétion.  

Cet élément a été pris en compte comme vous pourrez le constater.

Voilà comment nous avons réservé nos deux gîtes ruraux que nous vous présenterons en détail.

Il restait à louer une voiture sur chaque île mais aussi à organiser les transferts par bateau, d’île en île.

Facile ! Pour la voiture, l’agence « gomera-individual » s’en est chargée. Pour un prix très intéressant. Nous le verrons.

Pour le bateau, cette agence, via son site, nous a bien aidés car les horaires des bateaux y figurent.

Le 27 août 2012, nous prenions l’avion à destination de Ténérife pour y prendre le ferry à destination de La Gomera.

Pourquoi Tenerife me direz-vous ? Pour une question de coût. Partir un lundi sur une telle destination coûte moins cher que de partir un week-end via La Gomera en direct.

Alors, en route pour cette nouvelle aventure canarienne et de nouveaux paysages.

Belle journée à vous. 

lundi 24 septembre 2012

Invitation à la deuxième Matine d'Aulne.

 Bonjour à toutes et à tous,

Le temps est venu de reprendre nos activités artistiques car nous sommes déjà à la veille de la deuxième édition des Matines d'Aulne.

Rappelez-vous, c'était en août dernier.


L’Abbaye d’Aulne est un joyau de la région de Thuin (Belgique) qui éveille, chaque année, l’attention de nombreux artistes. Toutefois, la lumière joue un rôle prépondérant lorsqu’il s’agit d’œuvrer dans le registre de la photographie ou de la peinture. Le lever et le coucher du jour étant des moments d’exception.
Cette lumière varie aussi suivant les saisons ce qui donne aux ruines de l’Abbaye d’Aulne un aspect toujours différent mais toujours fascinant.
A mon initiative, en collaboration avec l’office du tourisme de Thuin, il est organisé à chaque saison de l’année (février – mai - août  – novembre), « les Matines d’Aulne ».
Celles-ci sont réservées, en priorité, aux photographes (amateurs et professionnels) et aux peintres. Il ne s’agit ni d’un cours ni d’un stage de photographie ou de peinture mais bien de permettre à des photographes et peintres d’accéder tôt le matin à l’intérieur des ruines de l’abbaye.
Notre joie serait aussi d’y recevoir des musiciens et des comédiens.

 La deuxième édition de ces mâtines aura lieu le samedi 3 novembre 2012 de 8 à 11 heures.

Pour des raisons pratiques, le nombre de participants est limité à 25 personnes.

 Au programme : 
08h00’ : Accueil et parcours libre dans les ruines de l’abbaye.
10H00’  Promenade à la découverte des paysages autour de l’abbaye.
11H30’ : L’apéritif des Matines au café LEBLON.(Facultatif et sous réservation)
12H30’ : Le repas des Matines au café LEBLON (Facultatif et sous réservation).
La participation aux frais varie selon votre volonté de participer totalement ou partiellement au programme.. 

Celle-ci est totalement gratuite si vous ne participez pas à l’apéritif et/ou au repas des Matines, l’entrée aux ruines étant gratuite, ce dont nous remercions l’Office du tourisme de Thuin.

Si vous participez aux Matines et à l’apéritif uniquement, la participation est de 5 euros par participant.

Si vous participez aux Matines et au repas des Matines uniquement (quatre services), la participation est de 25 euros par participant (hors boisson).
 La réservation est obligatoire et peut être envoyée à l’adresse suivante jean-francois.collignon@hotmail.com ou par téléphone au 00-32-(0)497/67.37.96.

Au plaisir de vous accueillir à cette occasion.



vendredi 21 septembre 2012

Loin des mots, la réalité.

 Bonjour à tout le monde,

« La nudité est autorisée partout en Espagne ». Cela, ce ne sont que des mots.

Lors de notre premier séjour sur l’île de Fuerteventura, nous avions déjà fait le constat que la réalité était tout autre que les mots. Que même si la nudité est autorisée partout en Espagne, sa pratique n’est pas aisée partout si on tient compte d’une des valeurs essentielle du naturisme : le respect de l’autre, l’autre étant ici, la population locale.

Qu’à l’exception de la splendide plage de Sotavento, nous n’avions pas vu âme de naturiste et encore moins de monokini ! Et que si nous avons pu pratiquer notre naturisme sur certaines autres plages, c’est tout simplement parce que nous étions seuls.

Ceci s’est confirmé cette année sur les îles de La Gomera et La Palma ! Force est de constater que nous n’avons vu aucun naturiste et qu’à deux exceptions près, nous n’avons pas vu de monokini ! 


 Mais le plus fou, nous l’avons rencontré à La Palma ! Clairement répertoriée tant sur les sites touristiques officiels que sur les cartes routières comme plage naturiste, nous nous sommes rendus à la « playa de las Monjas » près de Puerto Naos. En réalité, cette plage se trouve sur la route menant de Puerto Naos à El Remo.

C’est là que commence l’aventure !

En effet, cette route d’une bonne dizaine de kilomètres est bordée de chaque côté de plantations de bananes protégées par des murs en blocs de béton trônant sur une hauteur de plus de quatre mètres. A chaque coin d’allée, des caméras de surveillance scrutent les allées et venues dans la rue. Un véritable décor de film policier. En fait, un décor froid et inamical !

Nous cherchons ce qui est décrit comme un sentier bordé de bananiers qui mène à la dite plage et qui se trouve à environ un kilomètre et demi de Puerto Naos. Nous pensions que celui-ci serait indiqué par un panneau indicateur comme la plupart des plages de l’île.

En vain ! 


 Nous interrogeons un cultivateur qui nous explique en espagnol que nous sommes trop loin et montre du doigt un bâtiment qui serait le coin de ce sentier.
Nous cherchons, ne trouvons pas car sur le mur de ce bâtiment est appliqué une pancarte sur laquelle il est indiqué : « Pista privada – pase solo para peatones por su propio riesgo ».
Ce qui veut bien dire ce que cela veut dire.

Nous demandons à un ouvrier qui met en couleur des bornes d’eau où se trouve la plage et il confirme qu’il faut y accéder par ce sentier privé !

 Etrange !

Car ce sentier qui est une allée entre deux plantations de bananes n’a rien de rassurant et encore moins d’accueillant.

Il est aussi bordé de hauts murs en béton protégeant les plantations de bananes. Et il n’y a pas âme qui vit. Un véritable coupe-gorge.

Nous décidons néanmoins de l’emprunter pour aller passer l’après-midi sur cette seule plage naturiste de l’île.

 Surprise totale !

Nous tombons sur des barrières qui ferment l’accès à la plage. Deux panneaux, dont un en anglais indiquent : « Danger. Rockfall. No entering on the beachour apologies for the inconvenience » .

C’est à ce moment qu’une voiture arrive, qu’un homme en descend et nous demande ce que nous faisons là, en espagnol. On tente de lui expliquer que nous cherchons la Playa de Las Monjas. Il confirme que nous y sommes bien mais que son accès est strictement interdit et que la police applique des amendes sévères à qui enfreint cette interdiction. 

Il ajoute qu’au-delà de cette interdiction, l’accès à la plage est périlleux, qu’il faut pratiquement être un alpiniste pour y accéder ! 

En effet, du haut de la falaise, nous constatons qu’il faudrait passer de rocher en rocher pour y arriver puisqu’il n’existe pas d’escalier d’accès comme sur les autres plages. Nous y reviendrons. Mieux, la plage très étroite est composée uniquement de gros galets. Donc, la baignade doit y être dangereuse. Ce que confirme l’homme.


La rage s’empare intérieurement de nous. Nous rebroussons chemin et poursuivons notre route vers El Remo. 

Nous parcourons quelques centaines de mètres et nous découvrons une route asphaltée qui mène à un vaste parking. Nous nous garons. Une véritable rampe pavée mène à une grande plage de sable fin noir. 

Nous sommes sur la playa de Charco Verde.
Nous sommes soufflés ! Cette plage est parfaitement aménagée avec restaurant/buvette avec terrasse couverte. Elle est nantie d’un véritable terrain de beach volley et bénéficie d’une surveillance journalière par deux secouristes. Inutile de dire qu’il y règne une propreté sans faille, qu’il y a des poubelles partout.

Le contraste entre ces deux plages voisines est saisissant !

Pour les naturistes, un trou à rat dangereux et non entretenu avec, en prime, l’accès à la plage interdit car dangereux. Sans dire que pour garer la voiture, c’était à front de rue en l’absence de parking.
Pour les non-naturistes, une plage par excellence avec accès aisé et sécurisé.

Deux poids deux mesures qui démontrent tout le respect des autorités pour les naturistes.

Pour Annick et moi, c’est un constat amer par rapport à la manière dont les hollandais traitent avec respect les naturistes. Aux Pays-Bas, comme nous vous l’avons souvent montré, les plages naturistes sont aménagées avec la même attention qu’une plage non-naturiste. Et elles sont clairement indiquées.

C’est, dans le cas présent, quelque part, de la discrimination car on parque les naturistes là où les non-naturistes ne veulent pas aller se mouiller ! Et ensuite, on les prive de plage, tout simplement.

Et je pousserai le raisonnement plus loin. Nous sommes allés sur cette plage non-naturiste de Charco Verde. Je portais un maillot et Annick, pour cause, était en monokini. Je vous passerai les regards désobligeant des gens qui nous entouraient car Annick était la seule à être les seins à l’air libre. Sur cette plage, le maillot une pièce et le bikini règnent en maître ! En précisant que ces gens étaient en majorité des allemands.

Nous sommes partis rejoindre la terrasse de notre gîte. Là, au moins, nous pouvions vivre de notre naturisme, en toute tranquillité !

Alors, les mots sont une chose, la réalité est toute autre. Clamer que la nudité est autorisée partout en Espagne est facile si et seulement si sa pratique serait aussi aisée que les mots tant en mentalité qu’en accessibilité. 

Mais maintenant, nous allons vous présenter notre voyage car, au-delà de ce constat, nous avons vu de très belles choses. 

jeudi 20 septembre 2012

Votre serviteur présente Aulne à la télévision flamande.

Bonjour tout le monde,

Le 17 août 2012, je participais au tournage d'une émission de la télévision belge flamande ayant trait à l'abbaye d'Aulne.

 Ce dimanche 16 octobre 2012., la chaîne de télévision présentait son émission à ses téléspectateurs !

Vous pouvez découvrir celle-ci via internet par le lien suivant : http://www.een.be/programmas/vlaanderen-vakantieland/thuis-in-thuin


 Un beau reportage sur notre région.

Belle journée à vous.

mercredi 19 septembre 2012

Hola ! Qué tal ?

 Bonjour tout le monde,

Nous vous avons abandonnés durant trois semaines mais pour la bonne cause !
En effet, nous venons de rentrer d'un superbe voyage dans l'archipel des Canaries à la découverte des îles de La Gomera et la Palma.

Nous allons donc avoir le plaisir de vous présenter les photos de notre séjour en ces îles, pas à pas, ...

De nouvelles photos d'évasion comme ici, la piscine naturelle d'Hermiguia sur l'île de La Gomera.

Ainsi que nos nombreuses randonnées à la découverte des volcans, comme ici, celui de Ténéguia dont l'éruption date, à peine, de 1971.

On se met donc au travail pour vous présenter nos photos.

Belle journée à tout le monde.